Étant tous tentés d’hiberner, de nous réfugier sous la couette sans mettre le nez dehors, j’ai estimé indispensable de rappeler que l’été existe, que les plages sont toujours là, que les beaux jours reviendront, et que les rayons du soleil nous redonneront ce timbre mat et cuivré propre aux Péruviens. J’ai donc puisé dans la collection du bon docteur pour revigorer nos nez rougis et nos membres transis.
Reste à espérer que des groupes lamentables ne viendront pas nous accabler et déflorer nos joies solaires.
Sans compter que les bords de piscine ne sont pas toujours fréquentés par le meilleur monde.
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